« Don’t Believe the Dancers », l’extase groove de Tony Allen et Adrian Younge

Le producteur américain annonce un nouvel album de sa collection Jazz Is Dead, enregistré en 2018 avec le regretté maître rythmicien nigérian. Source: radiofrance.fr/fip

Trois ans après sa disparition, la musique du batteur Tony Allen continue de combler nos désirs rythmiques. Alors que son ami Damon Albarn s’apprête à lui rendre un hommage pharaonique au festival Rio Loco, le 14 juin, Adrian Younge annonce un nouvel album posthume du cofondateur de l’afrobeat avec le 18ème volet de sa série Jazz Is Dead. Des sessions d’enregistrement réalisés en août 2018 au Linear Labs Studio, véritable laboratoire créatif de ce projet, lancé en 2017 par Younge et Ali Shaheed Muhammad, qui a déjà accueilli quelques légendes comme Roy Ayers, Gary Bartz, Marcos Valle ou Lonnie Liston Smith.

L’aura de l’ancien compagnon de route de Fela Kuti que Brian Eno qualifiait de « meilleur batteur ayant jamais vécu » avait déjà rayonné en 2021 sur l’album posthume There Is No End. Le 7 juillet prochain, nous pourrons donc entendre à nouveau ses rythmes extatiques dans une collection inédite de titres groove polyrythmiques gravés avec la crème des jazzmen californiens ; Adrian Younge (guitares et basses, claviers, marimba, percussions), Scott Mayo à la flûte, Philip Whack, Jaman Laws, David Urquidi aux saxophones, Emile Martinez et Tatiana Tate à la trompette ou Lasim Richards au trombone.

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