Le mythe institue, le symbole spécifie. Un « blue ghost » alunit sur la face cachée de la lune… visible depuis jaalaw…
Tout rendu… dans son condensé… doit aller au-delà du constat pour qu’il puisse faire advenir ce qu’il semble « re-trancher »… l’essence de son existence… en tant que spécificité… celle qui ne se singularise que pour mieux signifier, en prétendant à cet anonymat qui lui permet d’aller au-delà de son lieu d’incubation.
toute sym-bo-lique, en renforçant ce dont elle symbolise la pertinence… et en l’établissant comme une référence… doit normalement susciter des spéculations critiques et productives…comme pour élaguer les branches adjacentes, tout en évitant de tomber dans la vase de la légèreté.
Ces spéculations auront donc pour vocation de consolider les possibles auxquels le symbole, dans son condensé, peut faire accéder.
Il va falloir une réelle appréhension de l’idée centrale, qui entretient le caractère contemporain de tout ce qui est passé à la fonction symbolique.
La vie courante…. le quotidien… est gouvernée par une infinité de symboles. Et le symbole semble condenser le présent encore actif du passé, ne s’exprimant au présent de l’indicatif que pour rendre compte d’une certaine historicité, où le futur n »est jamais absent.
Historicité qui a pour finalité d’éclairer la mémoire et d’élargir l’horizon des probabilités.
Un mythe n’est pas un symbole… alors qu’un symbole peut se métamorphoser en mythe.
NB : il reste 28 ou 29 jours selon le site de votre alunissage : face visible ou cachée…
Excellent xêd/kejaari !
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