À L’espace de la « secondarité »… anticipations/souvenir dans un univers à quatre dimensions? Dans ses « Carnets du grand chemin », Julien Gracq explicite en les résumant les « références » de ses « notes »
Celles qui traversent et relient les « paysages de la terre »… « le rêve » et « SOUVENT la mémoire » : sa mémoire individuelle à l’intérieur de la collective.
Il s’agit donc : d’histoire, de lecture et d’art.. c’est-à-dire de la littérature… comme un trépied sur lequel est posé une écuelle !
Restons avec Julien Gracq (il est à lire… enfin c’est un avis…) et subtilisons-lui cette « secondarité » qui « est dans (son) CARACTERE ».
Il la définit comme suit : être « PARTAGÉ entre l’ANTICIPATION et le SOUVENIR… ».
Cette posture ne signifie point un dédoublement de l’être Gracq, ou un dilemme qui clive Julien… mais celle du « témoin » de son temps… qui se soucie de l’avenir. Souci non pas d’équilibre…mais afin d’éviter les erreurs de perception.
Et, pour prétendre percevoir il faut bien se situer… lui, semble ne s’être « pratiquement jamais absenté d’un UNIVERS À QUATRE DIMENSIONS. » (p. 7).
Le point d’observation qui ne semble exister… que pour celui qui s’applique à la « secondarité » ?
WORK/WALK in progress…
NB : Carnets du grand chemin, Paris, José Corti, 1992, 308 p
©Abdarahmane Ngaïdé – Grattage par Ngaïdé
Laisser un commentaire