Lettre posthume à Claude Diaw (Par Mareme Blondin Diop)

Mareme Blondin-DiopAujourd’hui, nous sommes tous sous le choc et le cœur brisé d’apprendre ta disparition si soudaine. Ton départ laisse un vide immense dans nos vies et nos cœurs, et nous avons du mal à imaginer Atelier 18 sans toi.

Tu étais bien plus qu’un ami, tu étais un frère et un exemple de fidélité pour Papalioune Dieng. Tu étais un être exceptionnel, doté d’une grande bienveillance et d’une gentillesse infinie. Ton sourire chaleureux et ta joie de vivre contagieuse ont touché tant de personnes, et ont illuminé chaque pièce où tu entrais.

Nous sommes tous reconnaissants d’avoir eu la chance de te connaître, et nous garderons précieusement les souvenirs inoubliables que nous avons partagés avec toi.

Nous pleurons ta perte aujourd’hui, mais nous savons que tu es maintenant en paix, et que tu veilles sur nous tous. Nous te disons au revoir avec une grande tristesse, mais aussi avec la certitude que nous nous reverrons un jour.

Repose en paix, cher Claude. Tu resteras à jamais dans nos cœurs, et ton souvenir continuera de nous inspirer et de nous guider.

Je suis fière que tu ais pu contribuer à ce projet de #50ansOmarBlondinDiop avec tant passion et dévouement.

J’espère que tu as pu ressentir cette grande affection fraternelle qui m’a toujours animée envers toi.

Tu laisses PAL, ton épouse Clotilde et tes beaux petits derrière toi, mais saches que nous continuerons à avancer ensemble, en gardant ton souvenir vivant dans nos cœurs.

Va tranquillement, mon frère. Repose en paix, et sache que tu resteras à jamais présent dans nos pensées et dans nos souvenirs. Avec toute mon affection

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