Notre « njaal » à la famille de la défunte Astou de Louga. « Sunu boroom yërëm ko te xaaree ko al janna ». Pour triste que soit le décès de notre sœur Astou, nous devons nous garder de faire le procès du personnel administratif et soignant sous l’emprise d’émotions qu’on peut comprendre.
Il est bon de tirer la sonnette d’alarme sur les milles problèmes du secteur de la santé sans pour autant verser dans des excès. C’est à la justice d’éclairer l’opinion et de situer les responsabilités.
La version de la famille, même si on comprend sa profonde douleur et qu’on prie pour qu’Allah apaise sa souffrance, ne peut pas à elle seule servir de preuve de culpabilité de tel ou tel personnel administratif ou soignant de cet hôpital.
Il faut en appeler à la lucidité et laisser les enquêteurs et la justice faire son travail en toute sérénité.
« Lumu metti metti andak dal ak mandute daf cee baax. »
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