BALADE DE BAOBAB À BAOBAB… EN TROIS TEMPS DEUX MOUVEMENTS… UNE SURPRISE !
« … je me suis toujours dit qu’il y a une bien trop grande PRÉTENTION dans l’ACTE de PUBLICATION. JETER UN LIVRE entre les mains du lecteur, c’est ENTRER par EFFRACTION dans son INTIMITÉ et lui intimer l’ORDRE, toutes activités cessantes, DE nous LIRE ; c’est donc, implicitement, prétendre que ce que nous avons à lui dire est AUTREMENT plus important que ce qu’il était en train de faire… REDOUTABLE ET INSOLENTE PRÉTENTION ! »Amadou Bamba Thiobane, Verbacide(s), Dakar, Le Nègre International Éditions, 2017, p. 13.
Petite monstruosité à travers les « Mots-clés » de l’auteur de « Verba-CID-Es » « Prétention, Acte, Publication, Jeter, Livre, Entrer, Effraction, Intimité, Ordre, Lire, Autrement »… tout ça serait du « VERBACIDE(s) »… mais une « redoutable et insolente prétention » didactique… pour ne pas continuer à « BAVER » ce suffixe… comme le « CID »… une « Tragicomédie »… et notre auteur aime « l’art en général et le théâtre en particulier »… Voilà pourquoi il peut paraître monstrueux comme un baobab… tout en soignant jusqu’à l’accent de « son » auteur, avec humilité et malice de l’acteur qui ne se « contente » pas seulement des paroles de la pièce répétées mille et une fois… mais qui improvise une fois « jeté » sur le plancher d’une salle pleine à craquer… aurait dit quelqu’un !
Comme dans un Treizième Pènc !
1- SENGHOR FACE « SON » BAOBAB COURBÉ MAIS EN RÉSILIENCE MAXIMALE
2- LE BAOBAB EST DE QUEL GENRE ? (Rue de la Buujuvacherie… le numéro de la rue m’échappe). Le baobab est comme une jeune dame…
À SUIVRE… : DE BAOBAB A BAOBAB : LA « TEMPORALITÉ DE SURPRISE » SE LIT DANS L’ESTHETIQUE DE LA « PROXIMIE »
La balade sera longue… quand deux Doxkat se rencontrent…
©Abdarahmane Ngaidé
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