L’AFRO est une monnaie virtuelle dédiée au marché africain. Elle arrive sur le continent au moment où le paiement mobile est en plein essor.
Sans banque centrale, sans tracasseries liées aux banques, l’AFRO est une monnaie émanant d’une Organisation non Gouvernementale (ONG), basée à Genève en Suisse. Elle est gérée par la Fondation AFRO.
« La monnaie est 100% Proof-of-Stake (POS), tenant compte des dernières évolutions technologiques dans le monde de la blockchain, respectant l’environnement en ne consommant que très peu d’énergie pour faire fonctionner le réseau. » peut-on lire sur le site officiel de l’AFRO.
En 2018, 750 milliards d’AFROS ont été émis en corrélation avec le PIB et la masse monétaire du continent, soit symboliquement l’équivalent de 600 AFROS par habitant. 80 % de ce montant est sanctuarisé dans la Fondation dans un fonds dédié à contribuer, entre autres, à l’émergence de la première cryptomonnaie panafricaine, disponible dans le monde entier, décentralisée et dénommée « AFRO », et contribuer au développement économique et sociétal de l’Afrique.
Techniquement, révèlent les responsables, 10 000 AFROS sont générés toutes les 72 secondes, 2500 AFROS sont alloués au staker qui a créé le block, et 7500 AFROS sont alloués aux Masternodes. (Total de 438 000 blocks par an).
Pour posséder des AFROS, comme pour toutes les cryptomonnaies, il faut détenir un wallet (et/ou votre Masternode ) personnel téléchargeable.
Enfin, chaque propriétaire d’un Masternode (détenir un minimum de 20 millions d’Afros vérouillés dans un wallet) dispose également du droit de vote pour donner son avis et participer à la vie de la Fondation.
Pour rappel, c’est le 31 octobre 2008 que naissait le bitcoin, la première monnaie virtuelle décentralisée.
Credits: bankeo
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