D’entre les femmes aimées et à aimer
et de celles paradant entre virtuel et réel
et encore de celles dont on dit tout de go
qu’elles ne marchent pas mais ondulent
tout autant de femmes dîtes fatales
j’ai validé le choix de ma mémoire et depuis
je ne respire et ne vis que pour et par elle.
De nymphes belles à couper le souffle
en passant par d’autres bonnes à croquer
et d’autres juste de virée ou d’arrivée
ou de nocturnes solitudes à égayer
j’ai encore fait confiance à ma mémoire
et depuis je ne désire que trouver la dame qui en elle aurait d’une houri tous les atouts.
Que viennent à moi et m’atteignent
et m’emplissent tous les bonheurs du monde
et aussi à moi et à tous ceux.. et celles-là
qui sont de mes mondes et familles
toutes les lumières qui vivifient et persistent Que viennent à moi et me renforcent
et revitalisent celles qui sont des compagnes et savent être des complices
avant que d’être génitrices et servantes
Trop de barouds déjà en vue nous attendent
dont les relents vicient à plein gaz la planète et pour lesquels votre présence pluriforme ne serait Ô vous Reines et Déesses
qu’autant de pas de géants et grands bonds
vers des ères et sphères si belles et apaisées
que pour si peu on eût crû et haut clamé
et en toutes les latitudes du monde
que le Paradis n’est pas qu’une chimère
mais bien un enjeu et de l »ordre des heureuses perspectives.
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