L’année ne s’achève pas en un simple bilan,
Ni en chiffres gravés au marbre du cadran.
Elle est ce long recueil de nos persévérances,
Où les éclats de grâce ont bravé les silences.
De ce qui fut pesant, je délie les amarres,
Laissant choir dans l’oubli l’ombre et ses vieux avatars.
Je ne garde en mon cœur, comme un or précieux,
Que la clarté d’un jour sous des sommets radieux.
2025 s’éteint dans un souffle de soie,
Ma gratitude enfin y dessine sa voie.
Et sur le blanc sacré d’un futur à venir,
J’invite la paix seule à venir s’écrire.
Dans l’antre du temps, où l’aiguille se tait,
Gît l’année promise, l’horizon qui s’apprête.
2026, chiffre tissé d’envies,
Étoffe de nos songes, de nos vies.
Les défis sont des voiles, gonflés par le désir,
Au gré des vents contraires, choisir de s’enrichir.
Chaque aube un nouveau phare, chaque nuit un repos,
Pour l’esprit qui s’élance, bravement et de sitôt.
Perspectives lointaines, mirages d’infini,
Où la santé fleurit, où le cœur se fortifie.
Le souffle est une danse, l’existence un présent,
À soi et aux siens, un espoir rayonnant.
Rêver le mieux-être, pour tous, en partage,
Que l’âme soit légère, au fil du paysage.
Car l’an qui vient n’est pas qu’un simple calendrier,
C’est la toile vierge où tout peut s’initier.
Ce vendredi sacré, dernier de l’an,
Que l’Oumma trouve grâce et paix,
Remercions Allah, source de tout don,
Pour l’année passée, nos joies, nos regrets.
Implorons Sa lumière, Sa miséricorde,
Vers 2026, avec foi et ardeur,
Que nos prières s’élèvent, accorde-nous l’essor,
Que nos mains levées vers le ciel,
Portent nos espoirs, nos vœux, nos chants,
Un Djouma béni, pour tous ensemble plein d’amour et de ferveur !
K.G 26 décembre 2025








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