J’ai appris qu’il fallait patienter avec les femmes, qu’il ne fallait pas être orgueilleux, qu’il fallait laisser passer certaines choses et ne pas créer une dispute à chacune de ses erreurs car certes les femmes sont faibles et peuvent se tromper.
J’ai appris qu’il fallait être doux avec elles et ne pas jouer au fort, car certes les femmes aiment la douceur et finissent toujours par vous écouter à la fin, il faut juste savoir s’y prendre.
J’ai appris aussi qu’il fallait écouter sa femme, la conseiller, avec tendresse et amour, car certes une femme a besoin de se confier à son mari qui joue tous les rôles à la fois pour elle, mari, père, meilleur ami, etc.
J’ai appris qu’une femme amoureuse pouvait être capable de tout pour son homme, du meilleur comme du pire, et qu’il fallait surtout se concentrer sur le meilleur et délaisser le pire.
J’ai appris qu’une femme blessée peut l’être toute l’éternité, que les blessures ne se cicatrisaient que très peu voir pas du tout et que certes éviter de lui dire des choses blessantes était meilleur, en effet il vaut mieux prévenir que guérir.
J’ai appris qu’une femme pouvait être heureuse en se contentant de peu, et qu’elle pouvait être malheureuse même si elle a à sa disposition toutes les richesses qu’elle souhaite.
J’ai appris qu’une femme est un trésor qu’il faut savoir préserver, qu’il faut gérer. Que c’est quelque chose de précieux dont il faut prendre soin, qu’il faut manipuler avec précaution afin que cette chose ne se brise pas.
J’ai appris qu’un mot doux, un compliment, pouvait la rendre rayonnante de bonheur, et qu’un mot déplacé pouvait rendre son visage sombre, laissant place au malheur et à la tristesse.
J’ai appris que la piété était ce qui embellissait le plus la femme, et que la désobéissance à Allah l’enlaidissait.
Préservez vos femmes, occupez-vous d’elles, prenez-en soin.
Ne maltraitez pas vos femmes, soyez les meilleurs époux et surtout aimez-les comme elles méritent.
©lafriquedesidees
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