La confrontation entre Macky Sall et le peuple est inévitable. Le Sénégal vit l’une des heures les plus sombres de son histoire. La terreur d’état, sur fond de répression et d’écrasement de toutes les oppositions, la barbarie et l’extrême brutalité d’une horde de policiers et gendarmes qui agissent comme des malfrats ont fini d’installer le pays dans l’anarchie, le désordre et le chaos.
Des dizaines de sénégalais sont arrêtés, de manière arbitraire, dans le cadre d’arrestations préventives, et ce, sans aucune base légale (kidnapping d’état). Des opérations policières clandestines qui s’apparentent à de véritables rafles sont menées dans plusieurs localités pour arrêter illégalement des citoyens, sans qu’aucun motif ne leur soit notifié. De simples militants d’un parti politique légalement constitué sont suivis, recherchés, traqués, et cueillis en plein jour au seul motif de leur appartenance à PASTEEF, par des sauvageons de la police devenue une milice et le bras armé d’un régime qui sombre dans la folie.
L’acharnement, le harcèlement et la violence systémique à l’encontre d’Ousmane Sonko, relèvent du banditisme d’état. De fait, les dérives de Macky Sall ont atteint un point de non-retour avec l’ignoble assassinat de François Mancabou, du Sergent Fulbert Sambou, et de l’adjudant en Chef de gendarmerie, Didier Badji (3 crimes d’état qui portent l’empreinte du régime). Son régime kidnappe, torture, et assassine impunément. Ses milices sèment la mort, la terreur et la désolation.
Son clan affame le peuple, pille les ressources et impose le silence aux journalistes. La suspension de la diffusion des programmes de Walf TV pour une durée de sept jours par Babacar Diagne, un bouffon qui a traversé tous les régimes (de Diouf à Macky) et bouffé à tous les râteliers, constitue une énième atteinte intolérable et extrêmement grave à la liberté de la presse. L’état de droit s’est littéralement effondré, emportant désormais les restes d’une démocratie sénégalaise en lambeaux.
L’illégalité a cédé la place à l’arbitraire et à l’inacceptable. Le Sénégal est en péril. Ses fils sont en danger, du fait des errements et des frasques d’un homme incompétent, instable, et imprévisible, inapte à gouverner le Sénégal et prêt à toutes les bassesses et ignominies pour conserver le pouvoir. Macky Sall a décidé de régner par le vol, la ruse, la fraude, la terreur d’état, l’arbitraire, la forfaiture et le coup d’état électoral permanent, avec la complicité active de hauts gradés de la police, de la gendarmerie et de magistrats-valets, dont l’indignité, l’esprit de soumission et la lâcheté est synonyme de déshonneur et de génuflexion.
Dans le contexte chaotique que traverse le pays, avec un régime totalitaire, aucun sénégalais n’a le droit de faillir et d’ignorer ses responsabilités. Résister à l’oppression et à la tyrannie du régime violent, criminel et despotique de Macky Sall n’est plus une option ; c’est une obligation citoyenne. Il faut vaincre le MONSTRE quel qu’en soit le prix, pour sauvegarder les institutions, restaurer la démocratie et rétablir l’état de droit (il faut dissoudre le Conseil Constitutionnel, la Cour suprême et le CNRA et engager des poursuites à l’encontre de certains membres de ces institutions). C’est une loi implacable de l’histoire : les peuples finissent toujours par prendre le dessus sur leurs bourreaux. Il faut en finir avec Macky Sall, une bonne fois pour toutes. Maintenant.
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