Dakar Music Expo, qui a pris fin, il y a quelques jours, est un lieu de rencontre et d’échange intéressant. Parmi ces rencontres: Hughes Kieffer, directeur du festival Marseille Jazz des cinq continents. À la tête du festival Marseillais depuis 2016, Hugues Kieffer s’inscrit dans la philosophie de Jazz des cinq continents créé en 2000. Celle d’un jazz ouvert sur le monde nourri de mixité culturelle et d’improvisation. Kirinapost l’a rencontré dans les jardins de l’institut Français. 3 questions à…
Hugues Kiefer à gauche de Götz Bühler de JazzHead le plus grand salon professionnel du jazz au monde lors du DMX 2025 ©Dakar Music Expo
Kirinapost: D’abord présentez, en un mot, le festival Jazz des Cinq Continents ?
Hugues Kieffer: Jazz des Cinq Continents est un festival ouvert sur le monde d’aujourd’hui.
Kirinapost: Quel est l’intérêt de participer au DMX ce genre de salon en Afrique ?
Hugues Kieffer: Participer au DMX permet de rencontrer les acteurs et actrices de la musique en Afrique de l’ouest et au-delà. Écouter et discuter des projets avec les artistes en direct est un passage indispensable. Le DMX offre aux professionnels les moyens de travailler efficacement.
Kirinapost : Que retenez-vous du DMX 2025 ?
Hugues Kieffer: DMX 2025 a dépassé mes attentes. Il a été le carrefour foisonnant et créatif et a donné un panorama XXL des potentiels de nos collaborations à venir. Découverte de Guitari Baro, Kossi Mawun, Milda et Rema, Assane Seck et son bassiste (Groupe de Zale Seck)… Et beaucoup d’autres bons moments notamment la découverte de Gorée et du Wax.
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