L’antisémitisme « bateau », devenu bilboquet politique dans les griffes d’un perdant qui refuse d’abandonner.
« Le conflit israélo-palestinien, une cristallisation des confusions ». Antisémitisme instrumentalisé, dénaturé en fin de compte. Manipulation et diversion.
Mettre les « extrêmes » dos à dos pour créer le grand Chaos.
Le spectre d’une guerre civile, défini par un seul homme, adepte d’un culte d’une personnalité malaimée.
Les statistiques pourraient bien révéler que l’addition des sympathisants des deux « extrêmes » – concept volatile à souhait – représente la grande majorité du peuple français. Car qui aujourd’hui peut encore qualifier positivement le bilan d’Emmanuel Macron?
Jouer avec un antisémitisme « bateau », dans des circonstances inter-contextuelles, entre autre, est d’un machiavélisme rare.
Les Juifs de France devraient comprendre qu’ils sont instrumentalisés dans le contexte d’un profito-situationnisme politique de la plus belle facture.
Et si le jeu des chiens de faïence au coeur d’une grande partie du peuple français, n’avait pour objectif que de produire un mirage de piédestal de la Victoire, se dressant au milieu de la bataille en brandissant un glaive victorieux?
Bref, l’unique solution au milieu du tourbillon cyclonique préfabriqué par le solitaire « JE dissous l’assemblée nationale » et « au peuple de choisir ».
Quel immense mépris pour le « choix du peuple » de ces jours, devenu chantage avant la représaille, et qui finalement n’est qu’un alibi au nom d’un débâcle au seul service d’un nombrilisme sans foi ni loi.
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